Encore assommés
Déracinés dans le vent
Quais des peines muettes
Les ombres savent, se taisent
Un enfant pleure une douleur inconnue
Avec toi mon enfant nous pleurons nos rêves
L’humanoïde est là, les visages s’effacent et les mains saignent
Ce matin c’est la nuit qui vient, jusqu’a ce soir la lune
Et les ombres et la clarté sur nos visages vers elle levés, ensemble.
Hommage au chanteur rasta non violent d’Afrique du sud. A Steve Biko et à tous les assassinés de l’apartheid et de l’après.